Marie-Josèphe a choisi de rompre les liens avec sa famille pour avancer sur la voie de la liberté. Quant à Charles-Henri, il reste chargé par le gouvernement révolutionnaire de l’exécution des jugements de la justice criminelle et se voit confié le rôle de participer à l’élaboration d’un instrument de mise à mort mécanique et égalitaire.
Pour l’heure, il ne se doute pas du nombre terrifiant de condamnés que cette machine décapitera ni que c’est bientôt le cou du roi qui éprouvera le tranchant de son couperet !